Post by PythonPost by Richard HachelPost by Richard HachelPost by MoebiusPost by Richard HachelDivision of two complex numbers.
Now let's set Z = (a + ib)/(a' + ib')
I guess you meant: Z = z1/z2
Post by Richard Hachelwith
z1 = a + ib
and
z2 = a' + ib'
What becomes of Z = A + iB?
https://en.wikipedia.org/wiki/Complex_number#Complex_conjugate,_absolute_value,_argument_and_division
Merci beaucoup.
I saw this.
Merci, je vais donc pouvoir répondre aux mathématiciens.
R.H.
As I expected, it is completely wrong.
The same sign error.
z1/z2=[(aa'+bb')/(a'²+b'²)]+i[(ba'-ab')/(a'²+b'²)]
z1/z2=[(aa'-bb')/(a'²-b'²)]+i[(ba'-ab')/(a'²-b'²)]
Three sign errors (which is the same error) because each time we put i²=-1
where b and b' are already defined.
R.H.
It is not an "error". Complex numbers are defined in such a way that this
relation is true. They are what they are.
You cannot object to a "definition", except if it is not consistent. Definition
of complex numbers is consistent, and they do have purposes. Quite a LOT of useful
purposes, from geometry to integral calculus, electricity and quantum mechanics.
You can, nevertheless, propose that other rules for multiplication (so division)
may be useful. But then you're not talking about complex numbers but another kind
of numbers.
There are already other kinds of numbers build from pairs of real numbers, like
dual numbers that are interesting. Dual numbers to name one.
I'm not convinced that *your* proposition is useful. Maybe is is.
You are ridiculing yourself when you pretend that you "fix" a error in the
definition of complex numbers, in an even more pathetic way than when you pretend
to redefine Relativity.
But that is the story of your life, right? Making a fool of yourself and drown
yourself in your pathetic mix of hubris and stupidity.
Si tu vérifies avec honnêteté tout ce que j'ai dit, et les équations
que j'ai corrigées, tu verras que tout se tient.
Maintenant, on peut se poser la question : oui, mais est-ce des nombres
complexes qu'il parle?
Là je suis d'accord, posons nous la question.
Revenons à la base (comme dans la théorie de la relativité) et
progressons grain par grain, comme font les petits oiseaux.
Sur la notion des nombres complexes, posons nous la question : qu'est ce
que i?
Ce n'est pas 1, ce n'est pas moins 1, mais semble-t-il "quelque chose
d'autre" qui peut donner ce qui n'existe pas dans le réel, un carré
négatif, et plus précisément égal à -1.
Ne sachant pas ce que c'est que i, j'ai proposé l'idée qu'il soit à la
fois 1 et -1.
Cela induit que z, qui n'est autre qu'un multiplicateur de cette unité
bizarre, a lui aussi une dualité,
et qu'il peut être à la fois 4 et 9, 4 et 12, 4 et 45, 3 et 27, etc...
Bref, z est lui aussi un nombre imaginaire qui est une dualité.
On revient au problème, et toi qui es très féru de définition
précise, qu'est ce que i?
Dire que i²=-1, c'est dire qu'une hirondelle vole quand l'hirondelle
vole.
Ca n'explique par ce que c'est qu'une hirondelle, ni pourquoi ça vole.
En tout ça, ce que j'ai proposé ici est quelque chose de très cohérent
(comme ce que j'ai proposé en RR qui n'a jamais pu être attaqué
sérieusement).
Les équations sont cohérentes, les réciprocités évidentes, les lois
mathématiques respectées.
Est-ce un bonne façon de voir les nombres complexes, est-ce une MEILLEURE
et plus concrète façon? je ne sais pas.
Que devient cette façon appliquée à la trigonométrie, je ne sais pas.
Et pourquoi faut-il l'appliquer à la trigonométrie? Que devient z? Une
hypoténuse entre la composante imaginaire et la composante réelle?
Pourquoi? Que viens faire le point M? L'argument? Le module? Où sont les
deux nombres Z? Où sont les deux racines imaginaires d'une équation sans
racine réelle?
Il est clair que si les additions de complexes sont les mêmes chez moi et
chez les mathématiciens, les produits et les divisions ne le sont pas.
Les deux systèmes ont leur cohérence, mais parle-t-on de la même chose?
Si l'on prend une vérification statistique, on se rend compte en deux
minutes que mes équations sont correctes, et pas celles des
mathématiciens (problème du collège de Plougastel).
Je te laisse trouver des définitions plus appropriés que celle que j'ai
données, ou que celles que les mathématiciens donnent...
Je rappelle que i²=-1, c'est très joli, mais ça n'explique pas pourquoi
l'hirondelle vole.
On en est au même point en relativité. On nous explique que le temps
passe réciproquement moins vite sur les horloges opposées, mais n'ayant
rien compris au phénomène qui est d'apparence absurde, on est obligé de
s'inventer un time-gap à la con et des vitesses apparentes non
réciproques, ce qui bafoue la loi de réciprocité et de covariance de
tous les phénomènes relativistes.
Mais je te l'ai déjà expliqué tout ça.
R.H.